Comment Chasser facilement votre sensation d'infériorité ?
Peu importe que l’infériorité soit dans les manières, le travail, la conversation, la compagnie ou les pensées, partout où on la rencontre, sa tendance est de rabaisser l’idéal, et de ruiner la possibilité du progrès.
Nous sommes tous des plaques sensibles sur lesquelles se gravent d’une façon indélébile les pensées et les suggestions des autres, aussi bien que nos propres pensées et nos habitudes.
Je voudrais imprimer en lettres de feu dans la conscience de toute personne qui désire réussir dans la vie, qu’elle n’y parviendra jamais tant qu’elle s’associera avec l’infériorité et aura peu d’estime pour elle-même.
Éloignez-vous de ces 2 dangers et n’ayez rien à faire avec eux.
Si vous êtes la victime de la suggestion de l’infériorité, repoussez cette suggestion, chassez-la de votre esprit comme la plus grande ennemie de votre développement.
Ayez toujours dans l’esprit une haute idée de vous-même.
Vous ne pouvez faire que ce que vous croyez pouvoir faire. Vos seules limtes n'existent que dans votre esprit, mais ne sont pas réelles.
Et si vous doutez de votre capacité, vous êtes entravé, vous n’êtes plus libre de vous manifester ; vous élevez une barrière entre vous et la puissance qui exécute.
La défiance de soi-même est contagieuse ; les autres l’éprouvent à leur tour à votre égard, et leurs pensées s’ajoutent aux vôtres pour vous priver de toute confiance en vous-même, confiance qui seule, cependant, donne la force d’accomplir son devoir.
Peu importe ce que les autres disent ou pensent de vous, ayez toujours dans l’esprit une haute idée de vous-même ; ne vous permettez jamais de douter de votre capacité de faire ce que vous entreprendrez.
Vous ne pouvez être inférieur, parce que vous avez été créé à l’image de Dieu.
Vous pouvez, si vous le voulez, faire de votre vie un chef-d’œuvre, parce qu’il rentre dans les plans de votre Créateur qu’elle le soit.
Il n’y a aucune infériorité, ni dépravation, dans l’homme tel que Dieu l’a créé. La seule infériorité en nous est celle que nous nous infligeons.
Nous sommes devenus des caricatures de l’homme que Dieu a créé. Nous nous déprécions nous-mêmes, nous nous voyons faibles et inférieurs, au lieu de nous élever vers les hauteurs où réside la supériorité.
Un des dogmes les plus malencontreux de l’ancienne théologie est celui de la dépravation de l’homme, l’anéantissement de son origine divine.
La vérité est que l’homme que Dieu a créé n’est pas déchu ; c’est l’homme que le péché a fait qui est tombé. C’est par l’infériorité de ses pensées, par sa criminelle façon de se déprécier que l’homme s’est avili et s’est condamné à la médiocrité.
L’ancienne théologie nous a appris à nous considérer comme conçus et nés dans le péché.
Mais rien dans la Bible n’indique que l’homme doit s’anéantir et ramper devant son Créateur comme un esclave. Il ne peut résulter de cette dépréciation de lui-même que la démoralisation.
Il y a trop de servilité dans notre attitude ; trop d’anéantissement, de prosternation dans notre théologie.
L’homme n’a pas été créé pour l’humiliation et la honte, mais pour réaliser son origine divine. Dieu l’a créé pour qu’il se tienne debout et puisse regarder toute chose et tout le monde en face, même son Créateur, car il a été fait à son image.
Le mal est que nous ne savons pas assez voir le bien qui est en nous ; si nous le faisions, nous aurions une meilleure expression, et nous révélerions notre origine divine.
Prenez conscience que l’opinion que vous avez de vous-même n’est qu’une image mentale, qui est parfois faussée et qui ne reflète pas la réalité des choses.
Relevez donc la tête, et apprenez à avoir une bonne opinion de vous-même et de votre capacité pour mener à bien ce que vous entreprenez. Si vous ne le faites pas, personne ne le fera pour vous.
La pauvreté qui règne dans la classe laborieuse est en grande partie due à son propre sentiment d’infériorité.
Au lieu d’avoir une attitude de virilité et d’indépendance, les travailleurs tiennent pour acquis qu’ils sont inférieurs. S’il y a une chose que détestent les patrons, c’est la servilité chez leurs employés.
Ils aiment ceux qui leur font sentir qu’ils sont des hommes et entendent être traités comme tels.
Que nous le sachions ou non, nous ne sommes jamais plus forts que notre conviction ; nous n’entreprenons jamais de plus grandes choses que celles que nous inspire notre confiance en nous-mêmes.
Ainsi notre façon de penser nous détruira ou nous rendra fort.
L’homme reste le maître des ses pensées, et celles-ci doivent être tournées vers des désirs d’évolution et de richesse, qu’elle soit spirituelle ou matérielle.
Cordialement,
P.C
Source : http://www.secrets-de-comment.com
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